Il terminait en cassant tout.
Kurt Bain aurait été larsené de ses larcins.
S’il avait existé à son époque, il lui aurait pogoté dessus avec ses pieds sales. Il l’aurait remisé aux MTV Awards avec, pour seule nomination, le prix du meilleur « cendrier musical ».
Je ne suis pas le seul à m’en plaindre. Tu nous pompes sévère. Tu ne dis même pas bonjour et déjà , il fait nuit. Tu éteins toutes les bougies. Alors, comme des lapins dans des phares, on se fige. Tu roules lentement, en plus. Il est hors de question que ce soit moi qui me barre ! Ce terrier est terrien. La bactérie rit.
Alors on saute, on piétine, on talonne, on écrase chaque centimètre carré susceptible de vous imbiber. On napalme ses champs. On dévissérait des camemberts.
Ah ? Quoi ? Vous n’avez pas d’odeur ?
Comble de l’avidité : vous nous piquez notre nez ?
Vous êtes odieux. Je vous retourne le nez pour écrire zen. Il va falloir me rafraîchir votre haleine.
Car si je n’ai plus de nez, je sens votre bêtise me relever le palais. Dormez. Dormez.
Seule la nuit empêche nos rêves de se confiner. Épuisés, solidaires, soldats ou savants fous, s’enflamment à l’idée d’un monde d’après. D’après eux, il y aurait un monde nacré, sacré ou cacré ? Je ne me souviens plus vraiment.
Alors, au matin,
on reprend les armes et on va bosser.
Laisser un commentaire