Les usines à couleur s’interrogeait encore. Sur quelle base le noir est-il la somme des couleurs ou bien leur absence intégrale ? Les plus grands savants avaient kidnappé une ombre afin de l’autopsier.
Les spectres colorimĂ©triques n’avaient rien dĂ©celĂ©, et le mystère de l’ombre allait pouvoir continuer.Â
Le rouge, lui était moins débattu. C’était une couleur chaude, latine et inflammable.
Qui regroupait, tout ce qu’un soleil complaisant pouvait chauffer Ă blanc.Â
Mais malgré les cercles chromatiques, ces deux couleurs s’observaient.
Une couleur qui rĂ©flĂ©chit, est-ce une lumière ? Teinte, lumière et saturation.Â
En posant ses traces dans ses pinceaux, le noir arrivait à s’emmêler les mots. Comme un méli-mélo cinématographique, des images intenses et révolutionnaires. Le rouge qui envahit le noir. Il entre dans la surface de réparation, puis il tire dans la lucarne de son esprit, et butttttt.
Mi-temps.
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